Dreamtales
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 

 Le siège de Komlat'Har

Aller en bas 
AuteurMessage
korin
A perdu sa langue au chat
A perdu sa langue au chat
korin


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 22/12/2005

Le siège de Komlat'Har Empty
MessageSujet: Le siège de Komlat'Har   Le siège de Komlat'Har EmptyMer 28 Déc à 14:19

En l'an 1458 de notre ère: récit de mémoires de Korin

La lune parait vague à travers les pins de la forêt de Har. Autour de moi, mes deux généraux sont anxieux ce qui va à l'encontre de ma profonde quiétude. Les deux messagers de sa majesté humaine viennent à notre rencontre. Je sens mes deux généraux se crisper, ils le sont restés durant tout le reste de l'entrevue. Les Humains, avec qui nous les nains sommes en guerre, viennent en la personne de ces deux soldats nous supplier d'épargner leur citadelle. Non attendri, je les fait renvoyer. Je ne peut chasser de mon esprit l' image de ma femme et mes enfants couchés à même le sol, la tête séparés du reste du corps. Ni celle de mes sujets pendus aux enseignes des magasins de la place de notre capitale lors de la rafle de 1457. Je voulais faire comprendre aux humains l'horreur que les nains de l'orient avait vécu. C'est pourquoi moi roi de l'empire souterrain ai pris le commandement des armées afin de libérer la terre des nains, souillée par le fracas incessant des bottes boueuses des humains du nord. Aujourd'hui notre assaut final va débuter. Nous les nains ne sommes pas un peuple expansif, nous venons en finir avec l'occupation humaine. Nous venons reprendre notre citadelle. Avec un cri je rassemble mes troupes. Plus rien ne peut rentrer en contact avec mon esprit désormais. Mes légions marchent à grand pas. Seul le bruit des bottes de cuir parvient à mes oreilles. Sur le côté j' arrive à voir les barques, qui serviront à traverser le fleuve, portées par les bras puissants des nains de ma garde personnelle. J'ordonne à mes soldats de se regrouper par barques, donnant les ordres à chacun des chefs de divisions.
Le pont levis était exposé au côté sud, un quinzième de mon armée attaquerait par ici laissant le temps nécessaire au reste des troupes d'accoster sans bruit puis d'escalader les parois. Cela fait, une nouvelle diversion sera mise en oeuvre, le tiers de l' armée ira directement au donjon laissant le reste nettoyer les remparts. Ces derniers gagneront ensuite le bastion afin de pénétrer dans la dernière enceinte de toutes parts afin de concentrer les assiégés en un seul point et de les effacer.
Le siège commence...
Les barques sont mises à l'eau...
Le siège commence...
La troupe à pied s' avance jusqu' aux portes...
Le siège commence...
Les traits fusent de toutes parts sur la petite troupe. Ils forment tant bien que mal la tortue avec les survivants et le bélier en main, défoncent la première porte. De nouveau les flèches s'abattent comme une pluie mortelle laissant derrière elle de plus en plus de morts. Mais une vingtaine de soldats parviennent à gagner les murailles. Pendant ce temps nos barques accostent sur le flanc nord de la citadelle. Nous mettons pied sur le terre ferme et nous entreprîmes l’escalade de la paroi. Ma division part en troisième afin de montrer l’exemple. Les armures se cognent contre la pierre froide. Nous sommes repérés des corps tombent de chacun de mes côtés me frôlant de plus en plus près. Le rythme de l’escalade s’accélère de telle sorte que je suis bientôt arrivé au sommet. J’entends un cri je relève la tête une flèche vient se ficher profondément dans mon épaule, la douleur m’aveugle et mon bras touché lâche prise et je me trouve suspendu à un bras à un mètre à peine des ennemis qui se rassemble au dessus de nous. Tout à un homme surgît devant moi et abat son épée, avec un mouvement de désespoir je me décale en roulant contre la paroi. L’homme relève son épée, je crie à l’aide. L’ homme tombe alors le long de la paroi, mort, fauchant plusieurs de mes soldats dans sa chute. Je parvint à me hisser en haut de la muraille et je découvre avec joie le visage du chef de la troupe à pied qui avait réussi à revenir jusqu’à nous. Une fois mon armée grimpée, je retire la flèche de mon épaule et donne les ordres. Les deux tiers de mon armée partent en diversion, attaquer la caserne. Nous partons quelques temps après avec le reste des troupes. Nous arrivons au bastion où les premiers combats s’effectuent avec la garde personnelle du roi, mais notre grand nombre nous gêne et de plus la plupart de mes hommes sont affaiblis et nous devons battre en retraite assez rapidement. Nous décidons d’attaquer en plusieurs vague d’assaut, ma division en premier. Selon les ordres nous nous jetons dans les rangs ennemis mais blessé je tombe au sol. Sans doute ai-je perdu connaissance quelques secondes car je me suis retrouvé avec la seconde division en plein assaut. Décidé à ne rien laissé à l’ennemi je tue tous ceux qui se trouvent devant moi, je me suis frayé un chemin afin d’en arriver où j’en suis face au roi. Notre combat s’engage et rapidement un cercle se forme autour de nous. J ‘envoi plusieurs coups de hache et je reçoit moi même le coup qui fit de moi un estropié. Je tombe de nouveau car je n’ai plus l’ appui de ma jambe droite. Avec mes toutes dernières forces, je vise la carotide de mon ennemi. Le coup réussi, je suis évacué. Je me réveille dans mon ancienne chambre dans mon palais, repris la veille, une attelle d’argent à la jambe, le bras pensé. Je pourrai dans quelques heures remonter sur mon trône. Ainsi s’est passé le siège de Komlat’Har.
Revenir en haut Aller en bas
 
Le siège de Komlat'Har
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dreamtales :: Hors Jeu :: partie RP :: Les recits des guerriers-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser