La nouvelle republique par Ivan [conte ouvert]

Posté le: Ven 3 Juin 2005 - 15:53

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La Nouvelle République

Thème : Science Fiction (SF)

Difficulté : dure

Règles additionnelles
- Grandes batailles autorisées
- Doit avoir des querelles inter compagnie
- Doit avoir au moins 2 morts dans la compagnie
- Doit avoir au moins 1 traitre dans la compagnie
- Dialogue recommandé.
- utilisation de l'implicite
- intrigues et conflits
- manipulations politiques et lutte de pouvoir recommandés.


Interdiction
- Pas trop de gore mais image violente autorisé
- Pas de Style mangas
-Pas de vulgarité
-Pas de monstres mais droit aux machines,robots...

Interdiction sous peine d'être banni
-Aucun héros n'a le pouvoir d'un dieu il as donc une limite voir une faiblesse

Nombre min/max de conteur
4/15

Début
C’était un soir, le ciel était d’or, le soleil orange et la terre était noire. Il alluma la radio,
c’était les infos, il écouta d’une oreille distraite, la voix professionnelle de la journaliste,
il regardait par le fenêtre le flamboyant coucher du soleil, roi de l’univers. La voix continuait. Les bruits de la nuit commencèrent leur opéra nocturne. Son feu de bois réchauffait la pièce, une légère brise fit trembler légèrement la porte. « Nos chères auditeurs en ce jour exceptionnel, nous tenons à vous présenter notre reportage sur la recherche technologique japonaise qui est à la pointe de l’industrie mondiale. Voici donc notre édition spéciale… La voix s’arrêta net, sa radio se tut. Rien à faire pour la rallumer,
Une panne de courant ? Nous il appuya sur l’interrupteur et la lumière illumina la pénombre. Tant pis il regarderait la télé ce soir. Il pris sa télécommande et presse sur les boutons, rien à faire, la télé ne s’allumait plus ! Il était en colère. Il courut à sa porte pour sortir. La porte n’ouvrait pas ! Il frémit de rage. Qui avait osez ? Il voulut ouvrir les fenêtres, aucune e céda : Il était pris au piège ! Il s’assit dans un fauteuil et songea. Que c’est il passé ? Il se pinça, non il ne dormait pas. Ce n’était pas un cauchemar c’était la réalité ! Il se dit, quelle est ma situation ? Plus d’informations, plus de communications avec l’extérieur, si le téléphone ! Il prit l’appareil et écouta : pas de tonalité. Il soupira.
C’est vraiment con, une vrai connerie d’avoir des portes et des fenêtres automatiques, pourtant c’est du numérique, ça vient de sortir. Et ma télé c’est une TNT ! Et mon mobile ?
Il prit sa veste en cuir et en sortit son téléphone mobile, il ouvrit le portable et tapes son code, il regarde le nombre de barres s’affichant à l’écran : aucune ! Il posa son mobile sur la télé. Il était fou. Quel casse tête ! Il ouvrit ses rideaux et regarda dans la rue, personne, elle était déserte, pas un chat ! Il se calma, puis après quelques instants. Il alla dans sa cuisine pour préparé son repas. Il se fit un sandwich, et le mordit à belle dents. Quand ce fut fait, il monta dans sa chambre, équipé d’une paire de jumelles. Il s’allongea et s’assoupis. Il dormit peu, retournant dans tout les sens le pourquoi du comment. Après deux heure, il se leva et regarda la nuit à travers sa vitre et ses jumelles. Rien à l’horizon. Enfin si la pleine lune éclairant la cime des arbres secoué par les quelques rafales de vent. Il s’assit sur le bord de son lit et soupira, il n’arrivait pas à dormir. Il mit sa tête dans ses mains et songea. Que vais je devenir ?

(je peut conter ?)

Au même moment au commissariat central, un inspecteur et deux commissaires s’active, l’un tape sur son ordinateur un rapport : …détection..de la menace.plainte de la victime…
dangereux teroristes..repérés.opération alpha en cours…confirmons..ordres tout le secteur sera en alerte…

-Mon cher Fred, qui sont ces hommes ? repris l’inspecteur Bob, ils ne figurent même pas sur nos fichiers ! Je n’y comprend plus rien. Lors du dernier recensement ils y étaient.
-Monsieur l’inspecteur je suis perplexe !
-Et vous Alfred qu’en pensez vous ? dit il en se tournant vers l’autre commissaire
-Je n’en sais rien mais toujours est il que l’Opération doit débuter demain à l’aube
-Soit. Mais quel est votre plan d’action ?
-C’est très simple monsieur l’inspecteur…

-C’est très simple monsieur l’inspecteur nous avons une taupe avec les teroristes. C'est à lui de se charger de nous contacter. Nous ne pouvons rien faire regarder ce qu'ils en deja fait.
-C'est vrai, il nous tienne à la gorge avec cette arme.
-Si seulement le gouvernement savait ranger ses jouets. Maintenant si notre taupe se retame, la nation sera sous ka menace perpetuelle de ce groupe. La justice ne pourra rien faire pour les arreter.
-Ils nous reste qu'une seul chose à faire, avoir confiance en Bôer.

Pendant ce temps, le seul survivant (voir premier post) de la ville de New Zalem sortait de chez lui pour comprendre ce qu'il etait arrivé.

le probleme c'est qu'il ne peut pas sortir de chez lui
il songea d'abord de cassée la porte mais ces nouvelle porte magnetique sont trop epaisse.Ensuite il songea de passé par la fenetre mais il habité au 7 eme
maintenant il etait sur son canapé la tete entre les mains a se morfondre
dans un brusque sursaut d'intelligeance il courus attravers son apartementpour rasemblé serviette drap et vetement
puis il les noua solidement entre eux .
il cassa la fenetre a l'aide d'une chaise fixa la corde de drap aune poutre et entrepris son rappels
une fois en bas il ...

Une fois en bas il courut à toute vitesse, en traverssant la rue en un éclair. Un véhicule blanc arriva à fond, ses pneus dérapent en crissant, trois hommes vétus de blanc en descende vivement, ils ont l'apparence d'ambulenciers, ils courts et se jette sur lui, le saisisse et le porte vers le blanc véhicule, il se débat mais ne peut rien faire. Ils le bailonne et le ligote, il ne peut qu'écouter ; le conducteur hurle dans son portable : "Fou neutraliser, il est un vrai saucisson ! On le mettra en lieu sûr, je répéte , fou neutraliser, on le mettra en lieu sûr"
Notre cher prisonnier ne comprend plus, il n'est pas fou lui, il a eu un doctorat de mathématiques...

Soudain il remarque quelque chose de bizare. Ces agresseurs portent des costumes de protections 3 G, c'est à dire protection maximal contre les radiations et surtout les rayons de la mort. Est ce à dire qu'une ataque neutrinal de niveau 2, c'est abatut sur la ville. Non, c'est impossible. C'est arme n'aurait jamais dût voir le jour...... Je le sais car c'est moi qui l'ai inventée.....

Un vrai mystère ma situation, qui sont ils ? Mon travail et mes recherches étaient secret défense ! Le ministre ?
Méfiance ! Le danger est partout, quelqu'un avait parler. Un traitre est né, mais qui ?

En transylvanie, un homme habillé de noir aux ongles longs se reveille. Il regarde son ordinateur et check ses mails. Il griffone alors une note sur un papier bleu royal avec une encre rouge. Commencer le projet 666, lancer le projet 666. Un homme vient alors prendre le papier et appelle avec son portable.

Lancer l'operation vive l'ordre des neo-illuminati......

Le Chancelier suprême et son Ministre d'Etat assis l'un en face de l'autre dans des fauteuils de luxe, ils sourient, leurs dents brillent de mille feux, ils seront vainqueurs. Le Ministre dit :"On les auras tous !" "Bien, je compte sur vous, sinon..."

Dans une autre ville du pays, les passants marchaient tranquilement, la vie s'écoulait lentement, chacun avait ses préocupations personelle, les intérets divergeaient. Une voiture de police attendait à un feu rouge, les deux policiers qui était à bord discutait : "Bien calme, comme matinée, une bonne journée qui commence, on va manger au resto ? Oui, bonne idée, on se prend un steak frites ?" Soudain, les vitres volérent en éclats, une explosion retentit, les passants couraient paniqués, la même pensée envahit tout les esprits : Je ne veut pas mourrir ! Des bléssés gémissaient, tout le monde courait...

( c'est où New Zalem et la Transylvanie ? )

Soudain plus rien, plus un cri. Le monde se figea un instant et .... les rues se viderent. Par l'entreprise de je ne sais quel magie, toute vie disparut de la ville en un eclair! Non seulement les hommes, mais les fruits et les animaux s'etaient volatilisés. C'est comme si toute matiere organique avait ete anihilé.

C'est comme si toute matiere organique avait ete anihilé. Les batiments tombèrent en ruines, plus traces des habitants pas un chat. La ville venait d'être rayer de la carte, que c'est il donc passé ?

Fred était assis dans son canapé, chez lui et comfortablement installé. Il alluma son écran de télé, c'était les news:
- La mystèrieuse disparition d'une ville entière
- Des attentats à la voiture piégé, revendiquer par un groupe teroriste inconnu
-Des manifestations violentes dans un pays voisin réprimé sévérement par les forces de l'ordre
- Un coup d'état sur l'île de Cuba
- Des loups dévorent des troupeaux de moutons , les bergers protestent et l'état ne fais rien

Au meme moment, dans un asile, un dénommé Bôer se débattait comme un dingue (c'est le cas de le dire) pour échapper aux infirmiers qui allaient le soumettre aux chocs électriques qui le rendraient incapable d'action pendant un bon nombre d'heure.

Hors il savait que sa place n'était pas dans cette maison de fous, qu'il pouvait et qu'il devait faire quelque chose contre ce qui se tramait au dehors ! Les gens ne pouvaient pas avoir disparus comme ça, ses fenêtres et tout le reste n'avaient pu etre désactivé, c'était plutôt comme si tout était mort sur le coup...

Cette pensée le rendit encore plus nerveux... Mais hélas, plus il s'agitait, plus les infirmiers étaient nombreux autour de lui et resserraient leur etreinte... Alors il se laissa choir dans un profond sommeil... mais peut etre était-ce aussi du à la puissante piqure de Temesta qu'on lui avait discrètement administré quelques minutes auparavant...


(C'est comme ça qu'il faut faire ?)

Ils virent Bôer, sécoué de spasmes et hurlant, seul les sangles le maintenait sur son lit. Les infirmiers acoururent vers lui, et tentèrent de le calmer. Rien n'y faisait, Bôer hurlait toujours à leurs déchirer les tympans. Las, ils décidèrent finalement d'employer les grands moyens : ils lui administrèrent de nombreuses piqures. Les spasmes s'éspacèrent et Bôer se calma enfin. Ils purent finalement sortir de la piece, l'ésprit tranquille.

Bôer s'entit son esprit s'embrumer, sa bouche devint pâteuse, ses sens l'abandonèrent. Bôer ne savait pas ce qui lui arrivait. Les infirmiers lui avait injectés de nombreuses doses de phalacitamol, produit auquel, même sans le savoir, il était mortellement alergique.



Quelques heures plus tard, les employés revinrent voir l'état de santé de Bôer. Il avait rendu l'âme.

Un des infirmiers, Jean Toin, le découvra étendu sur son lit. Il venait faire les soins habituels, mais quand il voulu prendre le pouls de Boêr, à sa grande surprise il n'y avait plus rien. Il couru hors de la pièce et appuya sur l'interphone à l'entrée pour prévenir le service de réanimation. Quand ils arrivèrent pour rénimer Boêr, discrètement il sorit de la salle et alla passer un coup de fil à l'inspecteur Bob...

- Inspecteur Bob, J'écoute... prononça le policier.

-Inspecteur, nous avons mort. Personne ne peut dire pourquoi il a rendu l'âme. Je suis Jean Toin. Je peux pas vous en dire plus pour l'instant... au revoir. répondit l'infirmier d'une voix tremblante.

Il raccrocha et se mêla discrètement aux infirmiers dans la pièce de mort de Boêr.


Au poste de police, l'inspecteur raccrocha perplexe.
Quelle drôle d'affaire!?

- Inspecteur Bob, J'écoute... prononça le policier.

-Inspecteur, nous avons mort. Personne ne peut dire pourquoi il a rendu l'âme. Je suis Jean Toin. Je peux pas vous en dire plus pour l'instant... au revoir. répondit l'infirmier d'une voix tremblante.

Il raccrocha et se mêla discrètement aux infirmiers dans la pièce de mort de Boêr.


Au poste de police, l'inspecteur raccrocha perplexe.
Quelle drôle d'affaire!?

Je suis un type ki a les neuronnes griller et je crois ke je peux vous aider dans se secteur, je peut conté avec vous?

Ciao.