Le voyage vers la source {Parti RP}

L'inconnu du nom de SpiritTaker commenca enfin à l'ouvrir ! Il en avait marre de ce silence qui pesait, il ne savait pas trop quoi dire. (hrp: faut bien que je justifie que j'étais en cours irl moi )

-Heh beh les jeunes, je dois vous dire que j'ai une faim de loup moi ! Bah faut vous dire que en réalité, un de mes parents est un troll, un m'a donné son aparence d'humain, l'autre son ventre de troll. On m'a dit que c'était une histoire de gènes dominant et patati et patata...
Au déséspoir du groupe, SpiritTaker fit un gros rôt ma foi bien mal élevé, qui mit encore une fois évidence à son apétit gargantuesque.

Laura regarda l'inconnu d'un air degouté

ma foi tu es bien impoli tu pourrais bien dire pardon c'est la moindre des politesses quand on rote j'espere que tu ne sera pas comme ca au village

"Allons, ne nous arrêtons pas à cela, nous allons faire la fête, je ne voudrais pas qu'elle soit gâchée par des querelles assassines comme celle là", parvint à articuler Wis, qui semblait heureux de sa victoire, et de voir que tous étaient vivants, mais dont les traits étaient crispés par la douleur.

Pendant la nuit, une ombre plane. Une chose horible allait se passer. En tuant, le serpent, il avait offensé son cousin: le roi des vers. Non, je ne parle pas dans un enorme ver geant mais ... vous l'avez compris d'un dragon. En ce moment, un dragon rouge plane au dessus du village. Il va bientot venger l'affront fait à son roi et semer la mort!

(hrp : lol décidément, Omk, ça n'a pas l'air de te plaire que l'on rentre tranquilement chez nous, il faut toujours qu'il y ait une créature bizarre de plus)

Tandis que le ciel s'assombrissait, l'ambiance, à terre, était à son comble. Tous riaient et chantaient, les villageois célébraient le retour de Laura, et les compagnons leur victoire. Le vin coulait à flot, des mets toujours plus goûtus défilaient sous leurs yeux. Seul Ymäéré ne riait pas ; cela valait mieux pour sa santé : tout comme Wis, il avait été guéri par les villageois, qui avaient soigné les tissus et les muscles, arrêté l'hémorragie. Mais tout comme Wis, il n'allait falloir que du temps et de l'immobilité pour que les os se ressoudent. Son ami avait le bras gauche immobilisé le long de sa hanche, mais lui ne pouvait pratiquement plus rien faire, gêné dans tous ses mouvements. Même les Vents s'étaient absentés, laissant Wis se conduire. Mais alors qu'ils venaient de réapparaître, pour le prévenir, quelque chose d'horrible arriva.

Les cris de chants et de musique s'était changés en cris d'effroi et de désespoir : le groupe de danseuses gisait sur le sol, carbonisées. Ils levèrent la tête, et l'ombre de la bête leur apparut, rouge et or, un corps puissant, majestueux dans son vol, un corps fait d'écailles et de griffes, de muscles saillants, et de cornes qui encadraient un regard à glacer le sang.

A sa vue, Wismerhill, qui avait échappé de peu au triste sort des danseuses, comprit que cette fois-ci, il ne pourrait éviter une tragédie car déjà le dragon semait de nouveau la mort. Cependant, c'était lui qu'il cherchait, il le savait. Il eut tout juste de temps de créer un bouclier d'énergie pour protéger son groupe car pour la troisième fois, le ver crachait. Puis, il bondit sur le côté, tira sa lame, de son bras encore valide, et appela le dragon avant que celuli-ci ne continue le massacre.


Les Vents, témoins de la scène, savaient que le Fils des Nues, en tuant le serpent, avait accepté son rôle de prince des reptiles, et qu'en faisant face à ce dragon, c'était avant tout à son destin qu'il faisait face.

(bien, puisque personne ne semble vouloir se charger de la suite, alors je le fais.)



Wismerhill sut à cet instant que le combat n'aurait pas d'issue : le dragon manquait par trop de puissance, et lui était trop faible. Alors, il s'adressa mentalement à lui en ces termes :

"Ecoute-moi, dragon ! Je sais que c'est moi que tu veux ; je suis là. Mais tout d'abord écoute-moi : ce que j'ai fait jusque là, je l'ai fait en respectant les règles de la guerre. J'ai tué ton roi car il était mon ennemi ; j'ai tué son fils, ton prince, car il menaçait de tuer mes amis. Et aujourd'hui, tu viens d'en tuer d'autres. Pour cela, je devrais te tuer. Mais je ne le ferai pas.
J'ai eu tort au moment où je suis devenu prince à la place de ton roi. Un humain commandant aux serpents et dragons, cela n'a pas de sens. Mais cela s'est produit sans même que je le désire : ce que je voulais, c'était tuer ton roi, pas vous asservir tous. Tu viens donc chercher ton dû, et je vais te le l'accorder : je renonce à mon titre de prince des vers, je te le délègue. Désormais, pars, avec tous ceux de ta race.
Je te dis cela pour éviter une noire série de vengeances en chaîne. Car si je te tuais, d'autres dragons viendraient me tuer pour cela, puis d'autres hommes à leur tour, pour me venger. En somme, je plongerais nos deux races dans une guerre meurtrière, d'où nous sortirions tous perdants. Je le fais pour le bien de nos deux races, et l'équilibre de la terre.
Et maintenant, laisse-nous ces trois harpies pour rentrer chez nous, et pars en paix, mon ami, va prendre ta place là où ton peuple t'attend : sur le trône. Ce combat n'est plus le nôtre, et tu le sais. Le destin de ta race ne m'appartient plus."

Le dragon, pour toute réponse, écarta ses immenses ailes, et prit son envol. Il fut suivi par toutes les créatures ailées de la famille des serpents, comme les harpies. Seules les montures des compagnons restèrent. Puis les compagnons sentirent qu'ils étaient désormais aussi bienvenus que les pires monstres de cette terre, et quittèrent le village. Wis se tourna vers Laura, et dit simplement :

"Je suis désolé, tout est de ma faute. C'est moi qu'il voulait, pas ces malheureuses."

ce n'est pas grave je ne t'en veus pas, tu as fait ce qu'il était bon de faire.


laura regarda son bras et dit

Mais il me connait et il a connu mon pere ainsi que ma mere. Jamais il aurait osé me faire du mal il m'aurait juste enmenné avec lui



Edit de Wis : j'ai du modifier ta première phrase, car il en a tout de même tué tout un groupe de ton village.

Puis ils poursuivirent leur voyage dans les airs, jusqu'au moment où Wis leur demanda de descendre à terre. Ils accèptèrent, sans comprendre ses motivations. Mais en se posant dans la forêt qu'ils survolaient, ils comprirent en apercevant Ymärall, qui semblait perdue.


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